Nos élèves ont participé au concours Plaisir d’Ecrire organisé par l’Association des Membres de l’Ordre des Palmes Académiques (AMOPA) ouvert aux établissements du 7ème arrondissement de Paris. Les lycéens de La Rochefoucauld ont remporté de nombreux prix, comme l’atteste le palmarès ci-dessous. La cérémonie de remise des prix se tiendra le 12 mai à la Marie du 7ème arrondissement. Au niveau national, l’une de nos élèves, Inès Mouly, Première A, a obtenu le premier prix national de poésie, qui lui sera remis lors d’une cérémonie officielle au Sénat le 22 mai prochain.
Prix de La jeune poésie
Classes de seconde
Premier prix : Élena Brüls, « Lumière et beauté » (professeur référent Madame de Quenetain)
Classes de première
Premier prix : Héloïse Molinié, « Je vous parle d’un cœur » (professeur référent Madame de Lyrot)
Deuxième prix : Inès Mouly, « Mélancolie azuréenne » (professeur référent Madame de Quenetain)
Troisième prix : Marco Noguier (professeur référent Madame de Quenetain)
Accessit : Louise de Boissieu « Les ailes de l’Homme» (professeur référent Madame de Lyrot)
Prix de La jeune nouvelle
Classes de seconde
Deuxième prix : Paul Lauvergnier, « Le donjon de l’occultiste Toqué » (professeur référent Madame de Lyrot)
Troisième prix : Daphné Serre, « Le cauchemar » (professeur référent Madame de Quenetain)
Classes de première
Premier prix : Nicolas Rossio-Fournel, « La fille au bonnet bleu » (professeur référent Madame de Quenetain)
Troisième prix : Thomas Sabiani, « Inéluctable » (professeur référent Madame de Quenetain)
Acessit : Gaspard Fraboulet, « Et si je meurs » (professeur référent Madame de Quenetain)
Classes de terminale
Premier prix : Victoire Treillou, « Engrenage » (professeur référent Madame de Lyrot)
Deuxième prix : Mathilde Guignot, « Nocturne » (professeur référent Madame de Lyrot)
Troisième prix : Émile Cablhur, « Quelques petits pas de plus » (professeur référent Madame de Lyrot)
Extraits du Premier Prix National de Poésie : Mélancolie azuréenne d’Inès Mouly :
(…)
Cent ans auraient passé
Que ton nom n’oublierais.
Je le voudrais graver
Sur pan d’éternité.
Et ton doux sobriquet,
Sur mon cœur découpé,
Marquerait à jamais
Cet Eden enchanté.
Mais je dois t’oublier ;
Et mon cœur automate,
Au rythme des années,
Se vêtant d’écarlate,
Semblable aux fleurs fanées,
Qu’étudiait Hippocrate,
S’emploiera, exténué,
À cette tâche ingrate.